69% des salariés européens accepteraient une baisse de salaire pour bénéficier d’horaires flexibles

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La rémunération reste un levier majeur pour attirer et retenir les meilleurs talents, mais la flexibilité est devenue une priorité également pour les employés au cours des dernières années. Owl Labs vient de publier son rapport annuel sur l’état du travail hybride, mené sur 10 000 salariés à travers l’Europe.

Il en ressort que :
– 37 % des répondants refuseraient un emploi s’il n’offrait pas de flexibilité ;
– 69 % ont déclaré qu’ils étaient susceptibles d’accepter une réduction de salaire en échange d’horaires flexibles ;
– 36 % ont déclaré qu’ils seraient plus susceptibles de conserver leur poste actuel s’ils disposaient d’un horaire flexible ou d’une semaine de travail de quatre jours.

L’une des conclusions les plus frappantes du rapport est que 79 % des travailleurs déclarent être tout aussi productifs, sinon plus, lorsqu’ils travaillent à distance.

Idéalement, les employés souhaitent passer 3 jours au bureau et 2 jours à travailler à domicile, mais près d’un tiers ont exprimé des craintes quant à un retour forcé au bureau à temps complet.