Comme chaque année, l’institut Great Place to Work a fait paraître son classement des entreprises où il fait bon travailler en France et force est de constater que les entreprises du numérique sont bien représentées.
Plus de 2500 salariés :
- Wavestone (Conseil)
- DHL Express France (Transport)
- Groupe SII (Numérique).
De 1000 à 2500 salariés :
- Salesforce (Numérique)
- Extia (Numérique)
- SC2I (Numérique)
De 250 à 999 salariés :
- Hilton (Hôtellerie)
- Cisco Systems France (Numérique)
- Stryker France (Equipements médicaux)
De 50 à 249 salariés :
- Tiime (Gestion/comptabilité)
- Deafi (Service d’inclusion)
- Mon Courtier Energie (Courtage d’énergie)
Moins de 50 salariés :
- Mozoo (Communication)
- Valoris Real Estate (Immobilier d’entreprise)
- Fastcube (Numérique)
L’institut relève une tension entre l’individualisation et le besoin de collectif. La relation du salarié avec l’employeur s’est en effet fortement individualisée (travailler d’où je veux, comme je veux, avec l’outil que je veux). Dans le même temps, les collaborateurs sont en quête de sens, qui repose sur le collectif et l’inclusion. Pour Jullien Brezun, DG de Great Place to Work « la résolution de ce paradoxe entre l’individualisation de la relation et le besoin de collectif passe par un management de proximité et horizontal, attentif à l’épanouissement du talent de chacun ». L’autre grand défi relevé par l’institut, c’est la responsabilité sociale et environnementale (RSE), en particulier pour les directions des ressources humaines qui doivent mobiliser les salariés pour qu’ils s’imprègnent de la démarche RSE et qu’ils en deviennent les moteurs et les ambassadeurs.